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1 2 3 4 5 6 7 suivant fin samedi 8 novembre 6 08 / 11 / nov 09:58 autoportrait sous ce frêle déshabillé, en rempart du temple intérieur, vous laisse deviner ses formes cachées. femme fatale, maîtresse de vos plaisirs, gardienne de vos désirs en de jeux érotiques. acceptez de la rejoindre aux rives où l’âme flotte et vibre jusque dans vos cœurs, elle consumera vos tiédeurs. clarté qui sublime vos pensées, délicat reflet à peau blanche recelant de troubles intentions, jusqu’au dernier frisson, elle goûtera les plaisirs sacrés. rétifs ou rétives nulles illusions, elle vous fera fléchir. cette splendide cythérée asservira, sous ses lois, l’orgueil de votre raison. en état de vie d’oblation, par sa d'hommestication, vous vous donnerez à la beauté, au temple de l’inconstance. vous transcenderez vos appréhensions, se livrer pour se délivrer, voyage dans l’inconnu du plus profond de soi et, peut être, au plus profond de soie. de sa main vénérée, cette sensuelle félinité régentera vos chavirements, hors du temps, dans le bleu de la nuit. femme si sage, mettant en scène ses propres fantasmes suivant ses humeurs, le corps est son terrain de jeu. nul propos trivial pour exprimer la permanence de votre faim. elle est en capacité à mener votre coeur dans un abîme. en de patientes dérives, vous change en figurine. emotions débordantes, membre furieux dardé, corps jaspé, mendiant le droit de suivre du regard son déhanché, vous rêverez à des instants improbables. en de sensuelles lubricités, nulle étreinte de feu au risque de s’y brûler. en des attitudes troublantes vous fera connaître la lucidité des rêves par la chasteté des distances. en positions des plus humiliantes, votre peur se transformera en chaleur torride qui irradira votre corps jusqu’à la jouissance….. triomphe amer, chute de raison, résultante des rôles inversés.................................................. "merci à ys pour son raffinement et sa gentillesse" plus email lien imprimer par maitresse s. - publié dans : qui suis-je? ecrire un commentaire 9 - voir le commentaire - voir les 9 commentaires samedi 8 novembre 6 08 / 11 / nov 12:06 a propos de mon blog... " je souhaite la bienvenue à mes ami(es), sans oublier les visiteurs que je ne connais pas.... ce blog est un petit espace personnel, mon caprice, ma récréation... bien sûr, il y sera question de sm...puisque c'est une philosophie dans ma vie...mais je n'aborderai que ma propre vision, partagée ou non, quelle importance puisque c'est la mienne? je vais créer les articles au gré de ma fantaisie et des évènements, de mes passions diverses, bref...je vais me faire plaisir, tout simplement..." plus email lien imprimer par maitresse s. - publié dans : qui suis-je? ecrire un commentaire 8 - voir le commentaire - voir les 8 commentaires dimanche 9 novembre 7 09 / 11 / nov 09:07 la mule à talon. sans doute la parure la plus délicieusement indécente du pied! elle le maintient juste en prenant bien soin d'exposer ses courbes troublantes, tel un petit écrin que l'on aurait oublié de fermer...la véritable féminité étant de prendre soin de ce qui ne se voit pas: la mule est l'ancêtre du déshabillé! maintes fois prononcée: "madame, aimez-vous porter des chaussures qui laissent voir les chevilles?" cette coquine émeut, c'est indéniable.... "il n'y a pas de mode si elle ne descend pas dans la rue" déclara coco chanel, cela fit écho dans l'âme de notre petite lascive! il faut admettre, à sa décharge, qu'entre soie, moquette et coussins satinés: on s'ennuit beaucoup, ses claquements s'étouffaient! la mule est donc descendue dans la rue et muta en s'étirant le plus possible ,il fallait tout de même éloigner du sol le petit trésor qu'elle transportait: le pied, soudain épris de liberté! profitant de vent de libération ambiant et féminin, notre audacieuse envahit tous les milieux, il était quasiment impossible de ne pas entendre ses petits claquements triomphants: la femme était conquise. la mode ne dure pas, notre petite rebelle le savait bien...soucieuse de sa pérennité, une géniale idée s'imposa par déduction logique, et désigna la proie suprème: la petite fille, la future génération de femmes! puisqu'elle adorait s'emparer des mules de sa mère: il lui en fallait pour elle! notre mule fit une alliance redoutable avec une intrigante expérimentée, célèbre pour ses ravages et l'étendue de son empire croissant: barbie. d'adorables et irrésistibles miniatures vinrent joncher l'intimité de l'innocence, toutes aussi séductrices et semblables à leur aînée.... barbie était l'alliée idéale, ses initiatives remportaient un franc succés et faisaient mouche à chaque fois! la petite mule se transformait, s'adaptait sans cesse, prenant parfois des formes incroyables, s'insinuant partout, envahissant jusqu'à l'esprit du jeu lui même, bien campée dans l'imagination de la petite fille. rien n'étanchait sa soif de conquètes, s'il fallait prendre amant pour renforcer sa garde, et bien c'était chose faite...le fauteuil rose en peluche de la petite fille fut donc séduit lui aussi! l'histoire n'a pas de fin.....je laisse au lecteur le soin de la poursuivre, car je sais bien que seul ,celui qui conserve une âme d'enfant, peut saisir l'ampleur de sa portée symbolique... nos goûts et nos passions d'adultes éclos ,aujourd'hui, ont tous leurs racines quelque part...on ne devient pas fétichiste comme on attrape un rhume: c'est une résultante inexorable. j'ai toujours aimé le lyrisme, seul moyen de ne pas brider l'imagination, mais je sais que cela ne touche pas toutes les sensibilités... en écrivant ce "clin d'oeil", j'ai replongé dans les souvenirs du passé: je me suis souvenue des mules de ma poupée barbie...comment ai-je pu oublier ce point de détail pourtant si crucial?!! je porte le même modèle aujourdhui!!! c'est dailleurs mon modèle favori entre tous... vers l'âge de cinq ans, existait déjà une fétichiste en herbe....et je "confesserais", volontiers et avec délice, mon adoration pour les talons aiguilles, mais.... ceci est une autre histoire (sourire).... plus email lien imprimer par maitresse s. - publié dans : fetish ecrire un commentaire 4 - voir le commentaire - voir les 4 commentaires dimanche 9 novembre 7 09 / 11 / nov 22:47 le vouvoiement. je vouvoie toujours quand je ne connais pas, sm ou vanille, je vouvoie c’est ainsi… collier et tutoiement sont interdépendants à mes yeux…le « tu » est l’amorce d’une relation, quelque soit sa nature, le « vous » aussi, mais dans le 1 er cas il y a le franchissement d’un espace, début de l’intimité… je tutoie mes soumis uniquement, ceux que je reconnais comme tels…partant de là, le voyage peut commencer…je suis dans la locomotive, mes soumis sont dans les wagons, ceux que je vouvoie sont sur le quai. je respecte les êtres humains (à peu près tous, sourire), un soumis n’est pas un objet inerte, il est une source de plaisir, il devient « jouet » parce qu’il veut le devenir, c’est son choix, pas un état. il n’est rien sans sa maîtresse, mais la réciproque est une réalité. la maitresse est aussi la source de plaisir du soumis. l’un n’existe pas sans l’autre, la relation n’est pas unilatérale, en rien. le « tu » peut être affectueux, et le « vous » méprisant, tout dépend du ton employé…. mais sur le même principe d’utilisation de « madame » ou de « maîtresse », je ne tutoie pas d’office un soumis d’après son statut, je le vouvoie avant tout car c’est un homme, situation analogue avec une soumise. la 1 ère règle à observer : « ne jamais se faire tutoyer sans mon autorisation préalable, par quiconque, que ce soit sur le net ou dans le réel. » ceci n’est pas négociable, le soumis me représente, il est mon prolongement et se doit d’appliquer mes règles. si l’interlocuteur ne respecte pas ce principe et manque de respect à mon soumis, en dénigrant son devoir et en passant outre sa demande, il me manque de respect, et manque de tolérance envers ce qui ne lui correspond pas : il est alors totalement dépourvu de toute forme d’intérêt. plus email lie